Publié le : 08 septembre 20214 mins de lecture

Confier son tout petit à un inconnu n’est jamais facile pour les parents. Mais il arrive que le besoin se fasse sentir. Le temps de faire les courses, pour aller au travail ou encore pour passer du temps avec les amis a intimement quand les grands-parents ou les frères et sœur ne sont pas disponibles.

Avoir recours à une baby-sitter commence parfois par la consultation des annonces ou la publication d’annonce. Puis s’ensuit une sélection draconienne des candidates, selon leurs références, avec qui la personne a déjà travaillé ou même l’âge de la personne. De préférence, on préfère les personnes du troisième âge, des plus jeunes ne s’y refusent pas.

La première rencontre

La sélection faite, vient alors le moment de la première rencontre. Un entretien professionnel que vous allez mener d’un bout à l’autre avec votre future baby-sitter. Mais une question se pose comment le faire ? Et si la personne n’était pas vraiment motivée. Quelles sont ses compétentes ! Les personnes est-elle attentionnée ? La réponse n’est pas loin.

Pour une première rencontre, allez-y sur les questions. Ne pas avoir de retenue, car il s’agit de votre trésor. Même si cette première rencontre vous la passez aux questions-réponses, cela ne fait rien, il vaut mieux être rassuré et cerner la personne à ce moment que d’avoir de mauvaises surprises par la suite. Puis exiger de votre future baby-sitter des références vérifiables, assurez-vous que la préposée ait des références vérifiables, que ses précédents employeurs puissent attester de sa bonne conduite et de son professionnalisme .Et enfin, mettez les candidates en situation réelle. Accompagnez-les dans un premier temps à l’approche de vos enfants. Durant les premiers contacts avec l’enfant, vous êtes là pour valider la prise en charge de vos enfants. Si besoin de les recadrer sur de bonnes pratiques, car chaque enfant est unique.

Prendre des précautions

Il peut arriver lors de l’entretien que l’on ait un coup de cœur sur votre future baby-sitter que cela soit sur la posture, les compétences ou encore sur la personne même. Garder la tête lucide, penser à toujours lui demander une copie de sa carte d’identité, ses coordonnés, contact rapide sans oublier la copie d’une assurance de responsabilité civile.

L’aspect extérieur

Il n’est nullement interdit pour les parents de convenir de l’aspect extérieur de sa future baby-sitter. Cela n’est en aucun cas de la discrimination ni de la racine, mais comme tout employeur ; chacun à sa manière au pouvoir de définir ses préférences. Le ou la future baby-sitter est en quelque sorte le reflet de la famille et du foyer auquel appartient l’enfant. Rechercher l’équilibre au niveau vestimentaire, pas trop ni pas assez. L’objectif est que l’enfant est entre de bonnes mains. Aussi convenir d’horaire fixe, la future baby-sitter ne doit pas être tout le temps-là ni toujours en retard. La future baby-sitter ne doit être présente que si l’un des parents ne peut assurer son rôle le temps de faire une tâche ou d’honorer un quelconque engagement. Sinon la baby-sitter usurpe la place de parent créant ainsi un conflit intérieur ou traumatique chez l’enfant